Front gréco-albanais. Le 2e corps d'armée grec prend l'ërmet, à 38 km à l'intérieur de la frontière albanajse, dans la vallée du Vijosë. Devant l'aggravation de la situation, le commandement italien fait affluer de nombreux renforts, dont la division alpine Tridentin a, dans le port de Valona et à l'aéroport de Tirana, mais une grande partie des troupes se débande en montant en ligne. Le matériel est très insuffisant: les munitions font totalement défaut et le manque de vêtements de laine cause de nombreux cas de gelures, car le froid est très rigoureux. Toutefois, peut-être parce que les Grecs, étant peu motorisés et absolument démunis d'engins blindési ne peuvent pas exploiter leur succès, les Italiens réussissent à établir une ligne de défenses entre Himarë, sur la côte, et le lac d'Ohrid, Les points clés de cette ligne sont les positions entre Këlcyrë et Tepelenë, dans la vallée du Vijosë. Këlcyrë est perdu et repris. Le désordre règne chez les Italiens.De durs combats se déroulent dans la vallée du Vijosë et à la cote 731 de Monastir.
En France, le capitaine Henri Frenay, qui a commencé d'organiser un réseau de résistance, est affecté au 2e Bureau de l'état-major, à Vichy.
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